Burkina 24
Un festival au cœur de la culture et du développement
Après le succès de l’édition de Ouagadougou, Bobo-Dioulasso accueille avec fierté cette déclinaison du FESPACO. Le Président de la Délégation Spéciale (PDS) de la ville, Laurent Kontogom, a souligné l’importance du festival dans le paysage culturel burkinabè, mettant en avant sa capacité à rassembler les populations autour du cinéma africain et de la diaspora. Il a également insisté sur l’impact économique positif de l’événement, qui dynamisera les secteurs de l’hôtellerie, des services et du commerce informel.
Un Burkina Faso résilient et tourné vers l’avenir
Dans son discours, le ministre Pingdwendé Gilbert Ouédraogo a rappelé que Bobo-Dioulasso est un bastion de la culture burkinabè, et que cette édition s’inscrit dans la vision d’un Burkina Faso résilient, indépendant et souverain. Il a salué la vocation fédératrice du FESPACO BOBO 2025, qui constitue une plateforme d’échanges et de promotion pour le cinéma burkinabè et africain.
Un programme riche et diversifié
Au programme de cette édition, une trentaine de films primés seront projetés dans les salles de cinéma, les lycées, les universités et les quartiers. Parmi eux, l’Étalon d’or 2025, Katanga, la danse des scorpions de Dani Kouyaté. En parallèle, des formations sur les métiers du cinéma et des excursions touristiques sont prévues pour enrichir l’expérience des festivaliers.
La cérémonie d’ouverture a réuni plusieurs personnalités, dont les gouverneurs des régions maliennes de Sikasso et Koutiala, Madame Kanté Marie-Clair Dembélé et le Général de Division Abdoulaye Cissé, témoignant ainsi de l’aura régionale du festival.
Avec une programmation alliant cinéma, formation et découverte, FESPACO BOBO 2025 s’annonce comme un événement incontournable, porteur d’espoir pour l’industrie cinématographique africaine.
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