Ce comité réunira des représentants de plusieurs secteurs, dont les télécommunications, l’énergie et les finances, afin d’élaborer une feuille de route concertée. L’objectif est de répondre aux nombreuses plaintes des Ghanéens sur les tarifs élevés des services Internet. Selon l’Union internationale des télécommunications (UIT), les coûts de l’Internet mobile représentent 3,7 % du revenu national brut par habitant, un taux supérieur au seuil de 2 % recommandé pour garantir l’accessibilité.
Si les modalités précises restent à définir, le ministre a assuré que des mesures seront prises d’ici la fin de l’année. Celles-ci pourraient inclure une baisse des tarifs ou une augmentation des volumes de données proposés aux consommateurs.
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