Lors de cette rencontre, les délégués syndicaux des bases d’Adji Kossei, d’Abéché et de Faya ont réaffirmé leur soutien aux autorités tchadiennes pour cette décision souveraine, considérée comme un pas vers la consolidation de la souveraineté nationale.
Cependant, ces travailleurs dénoncent l’absence de mesures d’accompagnement après leur licenciement, qualifié de licenciement économique par l’Inspection du travail. Ils réclament une réinsertion professionnelle et la garantie de leurs droits sociaux.
« Nous appelons le gouvernement à prendre des dispositions immédiates pour assurer notre prise en charge et préserver notre dignité », a déclaré leur porte-parole, Mbaitoubam Bruno.
Face à l’incertitude, ces ex-agents attendent une réponse des autorités pour éviter une précarité grandissante.
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