Organisé par le pianiste angolais Dimbu Makiese, en partenariat avec le ministère de la Culture et l’Alliance Française, le festival a attiré des musiciens venus de divers horizons, notamment d’Allemagne, de Belgique, de France, du Portugal, de Cuba et du Venezuela. Le Palacio de Ferro, monument emblématique de Luanda, a servi de cadre à ces performances musicales de haut niveau.
Parmi les têtes d’affiche figuraient des artistes internationaux tels que Miguelito (Cuba), le Trio Edith Calas (France), et Gonçalo Marques (Portugal), aux côtés de légendes locales du jazz comme Filipe Mukenga. Le festival a su mêler habilement talents internationaux et angolais, offrant au public une expérience musicale riche et variée.
En plus des concerts, des ateliers gratuits ont été organisés pour les artistes locaux, favorisant ainsi le partage de compétences et de savoir-faire. « L’objectif est de transmettre la passion du jazz aux jeunes générations », a déclaré Dimbu Makiese, fier de cette dimension pédagogique du festival. Un hommage spécial a également été rendu à Jeronimo Belo, l’un des pionniers du jazz en Angola, soulignant l’importance de cet héritage culturel.
Avec son ambiance festive et ses échanges créatifs, Angojazz continue de s’imposer comme un événement culturel majeur en Angola et au-delà.
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