Pascaline Bongo, est soupçonnée d’avoir accepté d’intervenir en faveur d’Egis Route pour l’attribution de marchés publics contre la promesse de 8 millions d’euros. Elle sera jugée pour《corruption passive d’agent public étranger》.
Interrogée à ce sujet, son avocate Corinne Dreyfus-Schmidt, a affirmé à l'AFP qu'elle《n’a été en contact avec personne, il n’y a pas de contrat signé et rien dans le dossier ne permet de dire qu’il y a eu une remise d’argent 》. Le conseil de l'accusée a ajouté que《rien ne va dans le dossier, dans la procédure et dans les qualifications pénales》.
Selon le quotidien français Libération, Pascaline Bongo, 67 ans, avait accepté un《partenariat fictif》pour qu’Egis participe à la création de l’Agence nationale des grands travaux du Gabon via un marché public de consulting. Cette structure, créée par Ali Bongo après son arrivée au pouvoir, supervisait d’importants chantiers d’infrastructures comme les routes, les stades et les projets immobiliers publics.
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