Alors que certains, comme l’opposant en exil Cellou Dalein Diallo, appellent déjà à des manifestations pour pousser la junte à céder le pouvoir, d’autres acteurs politiques plaident pour une gestion pacifique de la situation afin d’éviter un chaos dès le 1er janvier 2025.
« Le pays semble aujourd’hui plus divisé que jamais au regard des positions des uns et des autres. Mais l’instrumentalisation des forces en présence serait le premier ennemi de la Guinée. »
Le 31 décembre approche, et le rendez-vous manqué semble inévitable, faute de prérequis à l’organisation d’une élection. Alors que les tensions montent, chacun semble attendre la date butoir pour agir. Une fin d’année sous pression qui cristallise toutes les attentions.
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