L’intensification des frappes israéliennes a débuté lundi et s’est poursuivie tout au long de la semaine, malgré les appels internationaux à un cessez-le-feu. Vendredi 27 septembre, lors d’un discours à l’Assemblée générale des Nations unies, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a rejeté une proposition de trêve de 21 jours, portée par la France et les États-Unis.
« Israël n’a pas d’autre choix », a-t-il déclaré fermement, affirmant que les opérations militaires se poursuivraient « jusqu’à ce que tous nos objectifs soient atteints ». Cette position israélienne laisse présager une poursuite des hostilités dans une région déjà en proie à de fortes tensions.
La disparition de Hassan Nasrallah, figure emblématique et dirigeant du Hezbollah depuis 1992, pourrait marquer un tournant décisif dans le conflit israélo-libanais. Cependant, l’avenir des relations entre les deux camps, ainsi que les répercussions régionales de cette frappe, restent incertains.
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