La justice a décidé de bloquer le processus de remplacement jusqu’au 24 octobre, le temps d’examiner la plainte déposée par l’ex-vice-président Gachagua. Ce dernier dénonce une procédure anticonstitutionnelle et précipitée, estimant qu’il s’agit d’une manœuvre politique visant à l’écarter du pouvoir.
Accusé de détournements de fonds, de trafic d’influence et d’acquisitions frauduleuses de propriétés, Gachagua rejette catégoriquement ces accusations, les qualifiant de « propagande » visant à miner sa position. Ce bras de fer juridique entre Gachagua et l’administration de William Ruto plonge le pays dans une incertitude politique, mettant en suspens le poste de vice-président, crucial pour la stabilité de l’exécutif kenyan.
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