Pour les défenseurs des droits humains, comme le militant Adama Dempster, cette décision doit rapidement déboucher sur des actions concrètes. Il insiste sur l’urgence d’agir alors que témoins et anciens chefs de guerre disparaissent.
Le bureau poursuivra ses consultations, mais reste confronté à des défis majeurs : manque de financements, lenteurs administratives et poids politique de certaines figures liées au passé du pays. Pour les victimes, ce renouvellement est un espoir, mais la justice reste à construire.
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