Un rendez-vous culturel de premier plan
Pour sa première édition, le festival a proposé une programmation riche et variée. Conférences, ateliers d’écriture, lectures publiques et performances artistiques ont permis d’explorer la poésie sous toutes ses formes. Les débats ont notamment mis l’accent sur l’Afrofuturisme, un courant artistique qui mêle science-fiction, histoire africaine et prospective pour imaginer l’avenir du continent.
Selon les organisateurs, ce festival visait non seulement à promouvoir la poésie en tant que vecteur d’expression artistique, mais aussi à encourager un dialogue sur la préservation des racines culturelles dans un monde en mutation rapide.
La diversité à l’honneur
Les participants, venus d’horizons divers, ont partagé leurs œuvres et échangé leurs idées dans une ambiance conviviale et créative. Pour l’un des poètes présents, cet événement a été “une opportunité unique de rendre hommage à nos traditions tout en explorant des formes contemporaines d’expression artistique”.
Au-delà des échanges culturels, le festival a aussi mis en avant l’importance de la diversité linguistique. Plusieurs langues africaines ont été utilisées dans les performances, témoignant de la richesse et de la pluralité des cultures présentes.
Un tremplin pour l’avenir
Clôturé le 18 novembre, le Festival international de poésie d’Abuja marque une étape importante dans le paysage culturel nigérian. En devenant un espace de réflexion et d’échange entre valeurs traditionnelles et expressions modernes, il promet de s’imposer comme un rendez-vous incontournable pour les amateurs de poésie en Afrique et au-delà.
Cette première édition, largement saluée, laisse entrevoir un avenir prometteur pour ce festival qui s’inscrit dans une dynamique de réinvention et de valorisation des arts africains. Les organisateurs annoncent déjà travailler sur une deuxième édition encore plus ambitieuse.
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