Une décision saluée par le ministre des Affaires étrangères, Robert Dussey. Selon lui, c’est une « marque de confiance » des pays membres et assuré que Faure Gnassingbé « contribuera activement à la recherche d’une paix durable » dans la région des Grands Lacs.
Mais cette nomination divise. Une quinzaine d’organisations togolaises dénoncent un manque de légitimité du président. « Comment un dirigeant contesté peut-il arbitrer un conflit aussi complexe ? », interroge Louis Rodolphe Attiogbé du mouvement Novation Internationale.
L’UA mise sur la diplomatie togolaise pour relancer le processus de paix. Un pari risqué dans un contexte régional hautement volatile.
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