Parmi ses objectifs, Ramaphosa a souligné l’importance de l’exploitation des minéraux critiques pour favoriser une croissance inclusive et durable. Il a plaidé pour un « cadre du G20 » dédié à l’industrialisation et aux investissements verts, visant à maximiser la valeur ajoutée des ressources naturelles près des sites d’extraction.
Le président a également insisté sur la nécessité d’intégrer l’impact du changement climatique sur les économies émergentes dans les discussions du G20.
Succédant au Brésil en décembre, l’Afrique du Sud assumera cette responsabilité jusqu’à la fin de 2025, avant de passer le relais aux États-Unis. Ces trois pays travailleront en collaboration pour garantir la continuité des initiatives du G20.
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