Dans plusieurs pays, cette aide permettait la gratuité des antirétroviraux. Au Gabon, par exemple, ces traitements restent disponibles, mais le coût des examens médicaux reste un fardeau, comme le souligne Nicole Moussounda, présidente du réseau des personnes vivant avec le VIH.
L’OMS exhorte Washington à revoir sa position ou, à défaut, à accorder des exemptions. Mais les États-Unis restent inflexibles, mettant en péril les progrès réalisés dans la lutte contre la transmission et l’évolution du virus. Une inquiétude d’autant plus grande que, selon l’ONU, 39 millions de personnes vivaient avec le VIH fin 2023.
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