Cependant, cette performance a été partiellement éclipsée par une baisse significative des prix des diamants sur le marché mondial, estimée entre 40 % et 60 %, ce qui a affecté les revenus des entreprises du secteur.
Les ventes de diamants de l’Angola en 2024 ont représenté 9 % des ventes mondiales des pays participants au Processus de Kimberley.
Pour soutenir la croissance du secteur, le ministre a mis en avant l’ouverture d’une nouvelle usine de taille de diamants au centre de développement de Saurimo en janvier 2025, portant à huit le nombre d’unités de taille dans le pays. Il a également rappelé les efforts en cours pour établir une bourse angolaise du diamant et une plateforme de ventes aux enchères, afin de mieux organiser les transactions.
Sur la scène internationale, l’Angola reste le quatrième plus grand producteur mondial de diamants, derrière la Russie, le Botswana et le Canada, consolidant ainsi sa place parmi les leaders du marché en 2023.
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