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Un vote pour le “changement”
Dans les bureaux de vote d’Accra, de nombreux citoyens expriment leur volonté d’utiliser leur “pouvoir” électoral pour apporter le “changement” et favoriser le “développement”. L’économie, durement touchée par l’inflation et les défis financiers, domine les préoccupations des électeurs.
“Nous avons besoin d’un leadership qui nous sortira de cette situation économique difficile”, déclare Kwame, un jeune entrepreneur, après avoir voté.
Deux visions, un enjeu majeur
La course électorale oppose deux figures politiques majeures : Mahamudu Bawumia, actuel vice-président et ancien gouverneur de la Banque centrale, et John Mahama, ex-président et leader de l’opposition. Les deux candidats incarnent des visions contrastées pour relancer une économie en crise.
Bawumia mise sur son expérience technocratique et ses réformes numériques pour convaincre, tandis que Mahama promet une politique de relance sociale et des investissements massifs dans les infrastructures.
Un scrutin sous haute tension
Cette élection, décrite comme l’une des plus serrées de l’histoire récente du Ghana, suscite un engouement massif. “C’est notre chance de décider de l’avenir du pays”, affirme Nana, une enseignante, convaincue que chaque vote compte.
Les observateurs internationaux suivent de près le déroulement du scrutin dans ce pays souvent salué comme un modèle de démocratie en Afrique de l’Ouest.
Un choix décisif
À la fin de cette journée électorale, les Ghanéens espèrent que leur vote contribuera à tracer une voie claire vers la stabilité économique et le progrès social. Les premiers résultats, attendus dans les prochains jours, détermineront si ce désir de “changement” et de “développement” sera exaucé.
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