Le favori pour succéder à l’ancien président est le général Joseph Aoun, chef de l’armée, soutenu par les États-Unis et l’Arabie saoudite, deux acteurs clés de la scène politique libanaise. Ces derniers jours, les obstacles menaçant le bon déroulement du scrutin semblent avoir été levés.
Le quorum de 86 députés sur les 128 membres du Parlement devrait être atteint, et les 65 voix nécessaires pour une élection lors des tours suivants semblent garanties. Cette séance pourrait enfin mettre un terme à une longue impasse institutionnelle dans le pays.
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