Les populations sont de plus en plus nombreux à souffrir de troubles respiratoires et cardiovasculaires, avec un risque accru de cancer des poumons. Les établissements de santé de la capitale observent une hausse marquée des consultations pour des affections respiratoires, devenue la principale raison de visite.
La pollution atmosphérique, exacerbée par des incendies de brousse, a aussi des répercussions sur le trafic aérien, maritime et routier, en particulier en soirée lorsque le brouillard est le plus dense. Cette situation est jugée alarmante, et le rapport de contrôle de la qualité de l’air recommande une vigilance accrue de la part des citoyens.
En dépit de l’urgence de la situation, aucune mesure concrète n’a encore été mise en place pour réduire cette pollution. Le ministère de l’Environnement et du Développement durable a toutefois encouragé l’adoption de véhicules électriques afin de limiter les émissions de gaz polluants et améliorer la qualité de l’air.
Ce phénomène persistera probablement jusqu’à la fin du mois de novembre, période à laquelle la saison des pluies devrait contribuer à dissiper le brouillard.
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