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SÉNÉGAL : L'ASTHME AU CENTRE DES DISCUSSIONS DES PNEUMOLOGUES

La journée internationale de l'asthme qui a lieu chaque 1er mardi du mois de mai, à bel et bien été prise en compte au Sénégal. Les pneumologues sénégalais se sont réunis pour débattre des nouveaux mécanismes à adopter afin de garantir une prise en charge plus efficace des personnes atteintes des maladies respiratoires et édifier les populations sur les différents types d'asthme
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"Certains patients font des allergies, ils éternuent beaucoup, ils se grattent le nez et en même temps ils toussent parfois. D'autres ont des manifestations alimentaires, c'est le cas de l'asthme allergique qui représente 80 à 90% des cas. D'autres ont de l’asthme viral lié à l'exposition environnementale tout ça c'est des formes d'asthme" explique le Pr Idrissa Demba-BAChef Service Pneumologie-Pédiatrie à Albert Royer.

 

Le SIOMETTRE, un appareil transportable qui sert à diagnostiquer les maladies respiratoires tels que l'asthme et la BPCO, qui peut être utilisé dès l'âge de 3ans sans effets néfastes sur la santé, était au centre de cette rencontre. Une aubaine pour les personnes atteintes de ces maladies respiratoires et leurs proches qui ont exprimés leurs satisfactions

 

"Mon fils est asthmatique, il fait des crises, il souffre beaucoup c'est pourquoi je l'ai amené ici. Le fait de voir cet appareil me rassure énormément. C'est le traitement qui convient à mon enfant"

 

Excepté les facteurs environnementaux tels que la poussière et les poils d'animaux, l'asthme peut aussi quelques fois être causé par le facteur génétique. 

 

La Journée Mondiale de l’Asthme a pour objectif de sensibiliser et d’informer sur l’asthme.

Cette maladie, qui touche énormément de personnes dans le monde, demeure une préoccupation pour les autorités sénégalaises en charge de la santé. Ils continuent de mettre tout en Å“uvre afin de trouver le traitement le plus efficace. Cependant, une grande majorité des personnes asthmatiques continue de souffrir de symptômes car cette maladie chronique n’est pas suffisamment contrôlée.

Par Macy OWONO Pour MEDIA AFRIQUE NEWS
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