Le nom du président togolais Faure Gnassingbé a été proposé pour lui succéder. La suggestion a reçu un soutien unanime au sein du bureau de la Conférence, et les premières consultations avec Lomé se sont révélées positives. Toutefois, cette nomination devra être validée par l’Assemblée des chefs d’État de l’UA selon la procédure dite de « silence » : en l’absence d’objection dans un délai imparti, elle sera considérée comme adoptée.
Cette annonce intervient alors que les tensions restent vives entre Kinshasa et Kigali. En parallèle, les discussions entre le gouvernement congolais et le groupe armé M23, sous médiation qatarie, doivent se poursuivre à Doha.
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